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Cloud : Ancien CEO et premier actionnaire indépendant de Microsoft, Steve Ballmer dénonce un manque de clarté dans les chiffres publiés par la firme sur son activité cloud.

Steve Ballmer tire à boulet rouge sur les chiffres publiés par Microsoft sur le cloud. L'ancien CEO de la firme de Redmond qui en est encore le principal actionnaire indépendant a profité de l'assemblée annuelle des actionnaires pour fustiger le manque de clarté dans les chiffres. « Ils qualifient le cloud d'élément clé. Pourquoi ne sont-ils donc pas clairs à son sujet ? », a déclaré à Bloomberg Steve Ballmer. Pour lui, la firme devrait communiquer sur les ventes et la marge.

Or, Microsoft se contente de livrer le montant annuel des revenus du cloud en extrapolant à un instant donné. Lors de la présentation de son exercice fiscal 2015 en juillet dernier, il indiquait ainsi 8 milliards de dollars de chiffre d'affaires annualisé sur le cloud. Et la firme estime que ce revenu atteindra 20 milliards de dollars en 2018. Mais Steve Ballmer estime que cette donnée est faussée. « Ils doivent donner les chiffre exacts des ventes cloud sur une année », clame l'ancien CEO qui a passé la main à Satya Nadella en 2014.
Cloud : Ancien CEO et premier actionnaire indépendant de Microsoft, Steve Ballmer dénonce un manque de clarté dans les chiffres publiés par la firme sur son activité cloud.

Steve Ballmer tire à boulet rouge sur les chiffres publiés par Microsoft sur le cloud. L'ancien CEO de la firme de Redmond qui en est encore le principal actionnaire indépendant a profité de l'assemblée annuelle des actionnaires pour fustiger le manque de clarté dans les ...

#Cloud#Microsoft

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Système d'exploitation : Microsoft lancera la prochaine version de Windows Server l'an prochain. Mais selon un sondage publié hier, les départements informatiques ont l'intention de prendre leur temps - au moins un an - avant d'adopter le nouvel OS serveur de Microsoft. Par ailleurs, il semble que les entreprises ne sont pas pressées de tester les fonctions de conteneurisation du système d'exploitation.

Parmi les 300 professionnels de l'informatique interrogés par le réseau de professionnels IT Spiceworks, au sein de petites, moyennes et grandes entreprises, une majorité a déclaré qu'ils attendraient au moins un an après la sortie de Windows Server 2016 avant de déployer la prochaine version de l'OS serveur de Microsoft. Certains envisagent même de ne pas migrer. 40 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles attendraient entre un an et trois ans avant d'utiliser Windows Server 2016, et 23 % d'entre elles ont déclaré qu'elles ne prévoyaient pas de faire la mise à jour. Cependant, même si les données de cette enquête sont fiables, l'adoption du logiciel au cours de la première année qui suivra sa sortie devrait être plus conséquente que celle constatée avec Windows Server 2012. Un an après sa sortie, seulement 12 % des entreprises l'avaient adopté. Cette fois, 17 % des répondants ont déclaré qu'ils prévoyaient de déployer Windows Server 2016 dès la première année.
2/3 n'investiront pas plus de 10 000 $ pour migrer.
Système d'exploitation : Microsoft lancera la prochaine version de Windows Server l'an prochain. Mais selon un sondage publié hier, les départements informatiques ont l'intention de prendre leur temps - au moins un an - avant d'adopter le nouvel OS serveur de Microsoft. Par ailleurs, il semble que les entreprises ne sont pas pressées de tester les fonctions de conteneurisation du système d'exploitation.

Parmi les 300 professionnels de ...

#Windows Server#Microsoft#Système d'exploitation

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En partenariat avec les forces de l'ordre de plusieurs pays comme le FBI et Interpol ainsi que d'autres acteurs IT et télécoms comme Eset, Microsoft a mené une attaque contre les infrastructures du botnet Dorkbot. Le but de l'attaque était, à défaut de l'éradiquer, de perturber son fonctionnement.

Microsoft a fait sa bonne action. La firme de Redmond a déclaré jeudi avoir collaboré avec les autorités de plusieurs régions pour perturber le fonctionnement du botnet Dorkbot. Découvert il y a quatre ans, ce dernier a infecté aujourd'hui plus d'un millions de machine. Il est utilisée pour récupérer les identifiants de connexion de différents services comme Gmail, Facebook, Netflix, PayPal, Steam ou encore eBay. La firme de Redmond ne s'est toutefois pas lancée seule dans l'attaque contre Dorkbot, et a travaillé ainsi avec le fournisseur de solution de sécurité Eset, le Cert polonais Polska, la commission canadienne de Radio-télévision et de télécommunications, l'agence de sûreté américaine, le FBI, Interpol, Europol et la police montée du Canada.

Les utilisateurs sont pour la majeure partie d'entre eux infectés lors de leur navigation sur internet sur des sites pas forcément bien protégés. Dorkbot exploite la moindre faille logicielle via un exploit kit ou les spam. Il peut aussi utiliser un système de ver pour se diffuser à travers les réseaux sociaux, les services de messagerie ou les clés USB.
En partenariat avec les forces de l'ordre de plusieurs pays comme le FBI et Interpol ainsi que d'autres acteurs IT et télécoms comme Eset, Microsoft a mené une attaque contre les infrastructures du botnet Dorkbot. Le but de l'attaque était, à défaut de l'éradiquer, de perturber son fonctionnement.

Microsoft a fait sa bonne action. La firme de Redmond a déclaré jeudi avoir collaboré avec les autorités de plusieurs régions pour perturber le ...

#Microsoft#Sécurité

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Bruxelles, le 8 janvier 2016 – Après avoir présenté la première technologie collaborative de pointe sur le marché et avoir fêté son 25ème anniversaire, Polycom tourne la page de 2015 et dévoile ses 7 principales prévisions pour la technologie collaborative en 2016. Ces tendances promettent de changer l'espace de travail du futur.

2015 va certainement entrer dans l'histoire comme une année importante pour le secteur de la collaboration. Au début de cette année, Polycom avait annoncé de grandes opportunités pour la collaboration, notamment une utilisation croissante des outils collaboratifs au sein des organisations internationales, des changements importants dans les bureaux et une modification structurelle de la manière dont les gens se réunissent. La principale évolution : de nouvelles solutions changent la collaboration au sein des organisations du monde entier.

Après une année 2015 placée sous le signe de l'innovation, Polycom prévoit 7 évolutions importantes en 2016.

1. La Génération Y va donner forme à l'espace de travail du futur

La Génération Y est la plus active et impliquée grâce aux réseaux sociaux. Elle utilise la technologie plus souvent que les autres générations pour rester en contact avec la famille, les amis et les collègues. Cette génération est naturellement habituée à collaborer et à utiliser la vidéo pour la communication et l'éducation. Dans une étude récente menée à l'instigation de Polycom, 78 % des sondés de la Génération Y ont répondu que l'accès à leur technologie préférée les rendait plus productifs au travail. La Génération Y attend la même expérience au travail que dans la vie privée. Polycom prévoit que la Génération Y aura plus d'influence sur la configuration des bureaux et des espaces de travail en 2016. Les entreprises perdront également des talents de premier plan si elles n'offrent pas une expérience stimulante au travail au moyen d'outils collaboratifs complets. L'espace de travail du futur va permettre de réunir la Génération Y et le personnel existant.
Bruxelles, le 8 janvier 2016 – Après avoir présenté la première technologie collaborative de pointe sur le marché et avoir fêté son 25ème anniversaire, Polycom tourne la page de 2015 et dévoile ses 7 principales prévisions pour la technologie collaborative en 2016. Ces tendances promettent de changer l'espace de travail du futur.

2015 va certainement entrer dans l'histoire comme une année importante pour le secteur de la collaboration. Au début ...

#Collaboratif#Cobol#Linux#Microsoft#mobile

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EduNathon, un collectif qui rassemble le CNLL et les associations Ploss-RA et La Mouette, lance une procédure pour faire annuler le partenariat liant Microsoft au ministère de l'Éducation nationale.

Le partenariat signé entre Microsoft et le ministère de l'Éducation nationale ne passe pas. D'un montant de 13 millions d'euros, il concerne la formation des élèves et des enseignants sur les plateformes numériques. Il prévoit également la fourniture des solutions de l'éditeur ; Cloud, avec Office 365 dans sa variante Education, OneDrive et 1 To de stockage, et Microsoft Azure Active Directory.

La question qui se pose aujourd'hui est la suivante : le contrat est-il licite ? Pour le collectif EduNathon, qui rassemble le CNLL (Conseil National du Logiciel Libre) et les associations Ploss-RA et La Mouette, la réponse est non. Associés au cabinet d'avocat FWPA, le collectif a donc lancé une première procédure. Il s'agit d'un recours gracieux.
Une convention contestable.

Le cabinet estime que les prestations de Microsoft « n'auraient pas dû être attribuées autrement que par une procédure de mise en concurrence ». Il regrette aussi que « de nombreuses entreprises et associations proposent des services équivalents sans avoir eu l'occasion de formaliser d'offre ».
EduNathon, un collectif qui rassemble le CNLL et les associations Ploss-RA et La Mouette, lance une procédure pour faire annuler le partenariat liant Microsoft au ministère de l'Éducation nationale.

Le partenariat signé entre Microsoft et le ministère de l'Éducation nationale ne passe pas. D'un montant de 13 millions d'euros, il concerne la formation des élèves et des enseignants sur les plateformes numériques. Il prévoit également la ...

#Microsoft#Document#Sécurité#Association

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Sécurité : Plusieurs entreprises de la Silicon Valley se sont réunies afin de publier un Amicus Curiae en soutien d'Apple dans l'affaire l'opposant au FBI. Parmi les sociétés participants à cette défense en règle du chiffrement, on compte notamment Mozilla, Cisco ou Microsoft.

L'union sacrée de la Silicon Valley pour défendre Apple ? Il y a quelques mois, la simple évocation de cette idée aurait encore pu faire sourire, mais celle-ci prend forme alors que le constructeur de l'iPhone poursuit ses démêlés judiciaires avec le FBI. Dans la bataille judiciaire qui oppose Apple à la police fédérale, les acteurs de la Silicon Valley tentent de peser dans la balance via la publication d'un amicus curiae.

Ces documents juridiques typiquement américains permettent à un ou plusieurs acteurs non directement impliqués dans l'affaire de transmettre au juge des informations qu'ils estiment utiles à la compréhension de l'affaire jugée. La méthode avait déjà été employée dans le dossier de violation de brevets opposant Apple à Samsung.

Comme l'explique Mozilla sur son blog, les entreprises regroupées au sein de l'Amicus Curiae tentent de présenter au juge les risques que représente la demande du FBI auprès d'Apple. « Nous signons cet Amicus Curiae afin de faire comprendre à la cour le risque que représente le fait pour une entreprise technologique de saboter ses propres fonctionnalités de sécurisation. S'opposer à la demande du FBI est ici une question de sécurité publique » explique Mozilla, ajoutant au passage que si cette demande venait à être satisfaite, les entreprises pourraient voir ce type de demande se multiplier.
Sécurité : Plusieurs entreprises de la Silicon Valley se sont réunies afin de publier un Amicus Curiae en soutien d'Apple dans l'affaire l'opposant au FBI. Parmi les sociétés participants à cette défense en règle du chiffrement, on compte notamment Mozilla, Cisco ou Microsoft.

L'union sacrée de la Silicon Valley pour défendre Apple ? Il y a quelques mois, la simple évocation de cette idée aurait encore pu faire sourire, mais celle-ci prend ...

#Microsoft#Apple#Telecommunication

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La firme de Redmond a mis en ligne une liste de nouvelles fonctions principalement liées à la connectivité entre terminaux qui pourraient être intégrées à l'avenir dans son OS. Aucune date de mise en oeuvre n'est avancée et l'éditeur ne s'engage pas non plus à les rendre disponibles.

Microsoft a levé le voile sur des fonctions qui pourraient être intégrées à Windows dans le futur en publiant une roadmap officielle sur son site web. Plusieurs d'entre elles ne font pas partie des nouveautés que l'éditeur a annoncées pour Windows 10 Anniversary Update, la prochaine mise à jour majeure de son OS attendue cet été. Dans la plupart des cas, il s'agit d'améliorations portant sur la connectivité entre les smartphones, les PC et d'autres appareils. Essentiellement orientée vers les besoins des entreprises, la feuille de route comporte également des éléments destinés au grand public.
La firme de Redmond a mis en ligne une liste de nouvelles fonctions principalement liées à la connectivité entre terminaux qui pourraient être intégrées à l'avenir dans son OS. Aucune date de mise en oeuvre n'est avancée et l'éditeur ne s'engage pas non plus à les rendre disponibles.

Microsoft a levé le voile sur des fonctions qui pourraient être intégrées à Windows dans le futur en publiant une roadmap officielle sur son site web. Plusieurs ...

#Microsoft#Cloud#logiciel#E-commerce

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Un peu plus tôt en mai, Microsoft a décidé de revoir la formulation employée sur son message de notification Windows 10. Qu'est-ce que ce popup ? C'est l'encouragement de l'éditeur à ses utilisateurs de Windows 7 et 8.1.

Les encouragements à migrer sur Windows 10 étant insistants et formulés de manière... discutable, la pratique a suscité dès le début bien des critiques. L'utilisateur pouvait aisément avoir le sentiment de devoir migrer maintenant ou plus tard. En clair, il devrait tôt ou tard s'y résoudre. De quoi l'emplir d'un sentiment de liberté.
Pour annuler, évitez la petite croix

Depuis, Microsoft diffuse Windows 10 en mise à jour recommandée. L'occasion rêvée pour changer la notification. Comme le rapportait ZDNet, la firme semblait avoir tenu compte, au moins en partie, des critiques. C'était sans doute parler un peu hâtivement.
Un peu plus tôt en mai, Microsoft a décidé de revoir la formulation employée sur son message de notification Windows 10. Qu'est-ce que ce popup ? C'est l'encouragement de l'éditeur à ses utilisateurs de Windows 7 et 8.1.

Les encouragements à migrer sur Windows 10 étant insistants et formulés de manière... discutable, la pratique a suscité dès le début bien des critiques. L'utilisateur pouvait aisément avoir le sentiment de devoir migrer ...

#Microsoft

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Analyse : Les services militaires italiens ont entamé leur migration de dizaines de milliers de postes vers LibreOffice, délaissant ainsi Microsoft Office. En France, l'armée a conclu elle un contrat Open Bar avec Microsoft, et les députés encouragent le libre sans lui donner la priorité.
la rédaction de ZDNet

Par Christophe Auffray avec ZDNet.com | Vendredi 01 Juillet 2016

Les armées française et italienne ont fait un choix radicalement différent en matière de bureautique. En France, la Défense a reconduit jusqu'en 2017 un contrat dit Open Bar avec Microsoft afin d'utiliser ses technologies, dont Office.

L'Italie a en revanche décidé de renoncer à la suite bureautique propriétaire pour déployer LibreOffice. A ce stade, 5.000 ordinateurs du ministère italien de la Défense utilisent le logiciel Open Source. En 2020, ce total devrait être porté à 100.000.
26 à 29 millions d'euros économisés sur 4 ans

Le projet prévoit en effet l'installation de LibreOffice au sein des différents services de l'armée, en remplacement des diverses versions de Microsoft Office exploitées à ce jour. Pour l'Italie, il s'agira de la plus vaste migration réalisée - et de la seconde en Europe pour LibreOffice.

Pour le ministère de la Défense, cela ne fait aucun doute : les économies sont tangibles. Celui-ci prévoit d'économiser durant cette période de transition de 4 ans entre 26 et 29 millions d'euros. L'argent sera réinvesti afin de faire évoluer les processus au cœur de l'ERP de l'armée.
Analyse : Les services militaires italiens ont entamé leur migration de dizaines de milliers de postes vers LibreOffice, délaissant ainsi Microsoft Office. En France, l'armée a conclu elle un contrat Open Bar avec Microsoft, et les députés encouragent le libre sans lui donner la priorité.
la rédaction de ZDNet

Par Christophe Auffray avec ZDNet.com | Vendredi 01 Juillet 2016

Les armées française et italienne ont fait un choix radicalement ...

#logiciel#Microsoft#logiciel libre

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Système d'exploitation : En transposant de Windows 10 à Windows 7 et 8.1 son modèle de mises à jour forcées et cumulatives ne permettant plus de sélectionner de façon individuelle les patchs de sécurité à installer, Microsoft soulève de vives inquiétudes parmi les administrateurs.

La décision de Microsoft d'imposer le modèle de correctifs et de maintenance de Windows 10 pour les clients faisant tourner l'ancien mais encore très populaire Windows 7 rend les experts nerveux. « Tout le monde retient sa respiration en espérant le meilleur mais en redoutant le pire », a indiqué Susan Bradley, experte reconnue dans le domaine des processus de patchs Microsoft et à l'origine de la newsletter Windows Secrets. Elle modère aussi PatchManagement.org s'adressant aux administrateurs IT. L'anxiété de Susan Bradley est liée à l'annonce le mois dernier de Microsoft de proposer à compter d'octobre les mises à jour de sécurité cumulatives pour Windows 7 et 8.1, mettant un terme aux pratiques historiques laissant le choix aux clients d'appliquer le patch de leur choix.

« Les correctifs individuels ne seront plus disponibles », avait confirmé dans un billet de blog Nathan Mercer, responsable produit marketing senior de Microsoft. A la place, la firme de Redmond a choisi de transposer le modèle de maintenance Windows 10 vers Windows 7 et 8.1, à savoir qu'utilisateurs et/ou administrateurs recevront des mises à jour qu'il ne pourront plus découper. « Tout le monde est inquiet », a glissé Chris Goettl, responsable produit du fournisseur de gestionnaire de patchs Shavlik, faisant référence aux clients avec lesquels il a discuté. « Cela sera extrêmement douloureux pour certains. »

Perte de contrôle

Alors que de nombreux utilisateurs grand public et petites entreprises - ceux qui reposaient sur le service Windows Update pour patcher leurs PC Windows 7 et Windows 8.1 - pourraient ne pas remarquer le changement, cela ne sera pas le cas pour les plus grandes entreprises qui ont testé les mises à jour avant de les déployer en masse. Lorsque les administrateurs informatiques ne seront plus capables d'appliquer des patchs de façon sélective, ils ne sauront plus identifier le correctif à l'origine de dysfonctionnements matériels, logiciels ou de workflows.
Système d'exploitation : En transposant de Windows 10 à Windows 7 et 8.1 son modèle de mises à jour forcées et cumulatives ne permettant plus de sélectionner de façon individuelle les patchs de sécurité à installer, Microsoft soulève de vives inquiétudes parmi les administrateurs.

La décision de Microsoft d'imposer le modèle de correctifs et de maintenance de Windows 10 pour les clients faisant tourner l'ancien mais encore très populaire ...

#Mises à jour Windows#Microsoft#Système d'exploitation